Nous vous proposons une expérience participative : écrire une histoire à plusieurs mains …
avec le groupe de Anne, Olivier, Michel, René et Christian, nous avons commencé par écrire quelques lignes,
à vous, visiteurs du blog du temps libéré, de prendre le relais en imaginant une suite pour une histoire sans fin …
(en fait, la fin aura peut-être bien lieu … lorsque plus personne ne relancera l’histoire … )
Quelques règles à respecter :
pas plus de 7 lignes par participation …
vous pouvez participer plusieurs fois, mais jamais 2 participations de suite …
pour que l’histoire soit collective, vous devez tenir compte des participations qui vous précèdent …
Alors … voici donc le début de notre “histoire sans fin” :
A l’intérieur déjà du ventre de notre mère, j’étais compressé comme une voiture qu’on emmène à la casse.
Lui, mon frère jumeau prenait toute la place, ne me laissant que quelques millimètres pour respirer.
Ainsi, personne ne s’est aperçu de ma naissance, je fus condamné à me débrouiller tout seul.
Anne, Olivier, Michel, René et Christian
Les 1ères heures, je pleurais souvent pour appeler mes parents, pour qu’ils se rendent compte que j’existais.
Je ressemblais alors à un petit pois... sans carottes (dixit Mustapha)
C’est alors qu’une araignée arriva et me réchauffa entre ses pattes.
Mustapha, Dominique, Sylvain, Hervé, pierre
· C'était trop bien d'avoir une araignée comme nounou ...
avec ses 8 pattes, elle s'occupait de tout :elle me donnait le biberon, elle me caressait les cheveux, elle me changeait ma couche, elle me berçait, elle me tapotait le dos pour faire un rototo ...
et tout ça en même temps !...
Piotr le 2 mai 2010
Mais l'araignée, passa le relai à son amie la fourmi, qui elle n'avait que 6 pattes, plus courtes. La fourmi étant très travailleuse, m'a permis de me débrouiller pour faire ma toilette, pour manger. Elle jouait beaucoup avec moi car se cachait facilement, ce qui m'a permis de réfléchir et trouver des solutions pour la retrouver.
Mireille Parturelle le 1er mai 2010
Plus tard, je voudrais bien qu'une colonie de foumies, me fasse un carosse avec une belle feuille de chataigner, elle s'y accrocheraient comme un bel attelage de chevaux et pourraient ainsi me faire visiter les pays ensoleillés des bords de mer du monde entier.
Dom le 30 septembre 2010
Un peu plus tard, Mimi la fourmie décida de me présenter au reste de la fourmillière.
"4 pattes chevelues", c'était mon nom.
Mes milliers de frères et soeurs m'accueillirent à pattes ouvertes...
Anne, Olivier, Michel, René et Christian le 15 septembre 2010