Après plusieurs mois de lecture assidue (à chaque fin d’atelier théâtre) du roman de Carole Marinez : « du domaine des murmures », nous avons rendu à Esclarmonde (l’héroïne) sa liberté…
Moult rebondissements et péripéties nous ont fait voyager à travers le temps pour nous retrouver au Xème siècle, une époque barbare, remplie de croyances, d’espoirs et de peurs.
Un roman qui nous a emportés et questionnés sur la force de la liberté et le poids de la religion.
Comment peut-on trouver sa liberté en décidant de se faire emmurer ?
Quelques commentaires :
Christian : une histoire poignante et saisissante.
Anne : c’est l’histoire d’une jeune fille sacrément courageuse.
Michel : un roman trash ! 226 pages au cours desquelles l’héroïne ne cesse de lutter contre elle- même et se remettre en question.
Olivier : Esclarmonde, c’était pour moi un peu comme être dans les bras de Morphée…
Pierre : bonne histoire mais triste et douloureuse.
Nicolas M : une histoire remplie de choses qui ne se font pas…
Mustapha : j’ai pas aimé les violences faites aux enfants.
Marion : même si il y avait beaucoup de violence, j’avais quand même envie de savoir la suite.
Dominique : c’est une histoire qui m’a dérangée.
Sylvain : j’ai bien aimé les chevaliers en croisade.
Nicolas B et Didier : j’ai bien aimé l’histoire d’amour entre Esclarmonde et Lothaire.
Rémi : c’était une belle histoire mais la fin était triste.
Jean-Pierre : j’ai pas aimé quand Phoebus le petit garçon tombe du cheval et meurt.
Lise : j’ai bien aimé quand les enfants mettent le feu à la cabane d’Esclarmonde. La tête, la mort !!!